Dossier réalisé par A.A-Mahé

L’histoire de développement d’un pays est toujours jalonnée d’évènements importants qui marquent à jamais les esprits et qui naissent pour prendre position dans les annales de cette histoire, des générations durant.

Des évènements façonnés par des hommes qui eux aussi vont y laisser leur empreinte pour l’éternité. On les appelle « les bâtisseurs». Notre histoire à nous est contemporaine et donc très récente. Elle est aussi, déjà très riche et envoûtante. Grâce, tout d’abord, à des hommes et à des femmes qui ont payé de leur vie pour que nous puissions retrouver notre dignité et notre indépendance.

Grâce à des leaders politiques qui ont pu construire contre vents et marées, un Etat que personne ne donnait la moindre chance de survie et qui ont su consolider l’unité, instaurer la paix et assurer la sécurité tout en hissant la souveraineté de notre pays jusqu’au firmament.

Permettant à son peuple d’y vivre libre et d’y couler des jours de plus en plus heureux sur cette terre de rencontre et d’échange bénie. De peur d’en oublier, nous ne les citerons pas dans ce dossier destiné exclusivement aux activités diplomatiques régionales et aux actions menées en faveur du développement économique et social du Président en exercice, M. Ismaïl Omar Guelleh.

Loin de vouloir faire son bilan, nous allons effectuer à travers ce dossier, un survol de ses innombrables réalisations, depuis son accession à la magistrature suprême à ce jour. D’emblée, nous pouvons affirmer qu’il appartient à cette famille de grands bâtisseurs qu’a connu le monde car, ce qu’il a entreprit est tout simplement fabuleux. L’espoir pressenti ne fut pas un mauvais flair. Jugez-en !

L’histoire de développement d’un pays est toujours jalonnée d’évènements importants qui marquent à jamais les esprits et qui naissent pour prendre position dans les annales de cette histoire, des générations durant. Des évènements façonnés par des hommes qui eux aussi vont y laisser leur empreinte pour l’éternité. On les appelle « les bâtisseurs ».

Notre histoire à nous est contemporaine et donc très récente. Elle est aussi, déjà très riche et envoûtante. Grâce, tout d’abord, à des hommes et à des femmes qui ont payé de leur vie pour que nous puissions retrouver notre dignité et notre indépendance. Grâce à des leaders politiques qui ont pu construire contre vents et marées, un Etat que personne ne donnait la moindre chance de survie et qui ont su consolider l’unité, instaurer la paix et assurer la sécurité tout en hissant la souveraineté de notre pays jusqu’au firmament. Permettant à son peuple d’y vivre libre et d’y couler des jours de plus en plus heureux sur cette terre de rencontre et d’échange bénie.

De peur d’en oublier, nous ne les citerons pas dans ce dossier destiné exclusivement aux activités diplomatiques régionales et aux actions menées en faveur du développement économiques et social du Président en exercice, M. Ismaïl Omar Guelleh. Loin de vouloir faire son bilan, nous allons effectuer à travers ce dossier, un survol de ses innombrables réalisations, depuis son accession à la magistrature suprême à ce jour. D’emblée, nous pouvons affirmer qu’il appartient à cette famille de grands bâtisseurs qu’a connu le monde car, ce qu’il a entreprit est tout simplement fabuleux. L’espoir pressenti ne fut pas un mauvais flair. Jugez-en !

L’homme de paix

Elu en 1999 pour prendre en main la destinée du pays, M. Ismaïl Omar Guelleh arriva au pouvoir nourri d’une volonté de fer et des idées plein la tête. Car, ses ambitions de bâtisseur ne datent pas d’hier. Déjà, de sources concordantes, le Palais du Peuple et le Stade Gouled avaient été construits à son initiative. Ces deux projets facilitèrent sans nul doute, l’implantation des entreprises chinoises dans le pays. C’est encore lui qui décrocha les accords historiques d’Aba’a et qui réussi, malgré toutes les tentatives de sabotage de ses détracteurs, à bâtir cette paix durable qui continue à forger la grandeur du pays.  La plus part des acteurs qui avaient joué un rôle essentiel dans ces négociations secrètes sont présents et restent les témoins vivants de cette partie importante de notre histoire. La bonté et la sagesse, agrémentées d’un nationalisme sans faille, ont façonné sa carrure d’homme d’Etat et fait de lui cette figure incontournable qui ne cesse de se démener pour la paix dans la Corne de l’Afrique. Rappelez-vous sa toute première participation à l’Assemblée Générale des Nations Unies où, il s’illustra d’amblée en lançant ce crie d‘alarme sans précédant en faveur de la Somalie. Ce cri qui sensibilisa la communauté internationale sur l’ampleur de cette tragédie humaine et qui réclama la restauration urgente de la paix et de l’autorité de l’Etat dans ce pays frère déchiré par la guerre civile. Malgré les difficultés économiques que Djibouti traversait à cette époque, il prit à bras le corps ses responsabilités pour montrer l’exemple et organisa, sans la moindre aide extérieure, mais avec témérité et courage, la célèbre conférence d’Arta qui a mobilisé tout le pays.

(180513) — BEIJING, May 13, 2018 (Xinhua) — A train runs on the Ethiopia-Djibouti railway during an operational test near Addis Ababa, Ethiopia, on Oct. 3, 2016. (Xinhua/Sun Ruibo)

Une conférence qui fut par ailleurs, une grande réussite puisqu’elle a permit la mise en place, pour la première fois depuis l’effondrement du régime militaire, de cette structure d’Etat, reconnue par le monde, qui fonctionne encore de nos jours à Mogadiscio.

Le Temps des redressements

Sur le plan national, sa première action courageuse concerna le Port Autonome International de Djibouti (PAID) qui fut libéré du cartel, composé de quelques grosses entreprises privées de la place, qui gérait ses recettes depuis la nuit des temps. Et, il y avait de quoi car, depuis le basculement de la totalité du trafic éthiopien en 1998, le port de Djibouti était devenu l’unique débouché du géant voisin. Et pour sa première visite officielle à l’étranger, le Président choisira l’Ethiopie et tiendra en Amharique, un discours historique devant les Parlementaires et les Membres du Gouvernement. Une stratégie diplomatique astucieuse et pleine de talent qui avait pour but de les mettre en confiance et d’affirmer sa volonté de consolider davantage encore, ce lien ancestral qui unit les deux pays,

Malgré tout, ses débuts ne furent pas de tout repos car, l’homme a vraiment eut du pain sur la planche. Le pays traversait une grosse période de vache maigre où, tous les voyants affichaient un  rouge inquiétant. Et la priorité des priorités était le redressement économique du pays et le renflouage des caisses de l’Etat. Pour entrevoir le bout du tunnel, il prit donc son courage à deux mains et mit rapidement en place un plan de redressement budgétaire drastique rétablissant dans un premier temps, la ponctualité des rémunérations salariales en mobilisant à cette faim, la totalité des recettes indirectes. Sans oublier au passage, de voler au secours des retraités qui, eux aussi, vont retrouver très vite le règlement normal et régulier de leurs pensions. L’engagement du Président de la République en faveur de la lutte contre le terrorisme et la piraterie va attirer des puissances étrangères qui vont avoir confiance à la paix et à la stabilité qui règnent à Djibouti. Cet afflux d’armada apporta dans un premier temps, une bouffée d’air qui va permettre à l’Etat de redresser légèrement la barre et de souffler. Sans oublier tous les examens de passage réussis, imposés  par le FMI et la Banque Mondiale, pour établir  un ajustement structurel rigoureux et contraignant.

L’homme d’Etat ne se contente pas de cela et mijote ses propres idées pour tirer son pays de ce marasme économique. Conscient de la fragilité du pays et de son extrême pauvreté, Ismaïl Omar Guelleh a toujours été convaincu qu’un réel redressement de la situation passait obligatoirement par l’éducation de la jeunesse, la formation des agents de l’Etat, l’amélioration du fonctionnement de l’administration, la modernisation et le développement des infrastructures  pour augmenter les prestations de service, améliorer leurs qualités, attirer des investissements et créer des emplois.

Les grandes réformes

Pour que la jeunesse puisse avoir une meilleure chance d’intégration dans la vie active et sociale, le Président Ismaïl s’est donc fixé comme priorité, l’accès à l’éducation pour tous. Et vu du taux de scolarisation actuel, les progrès réalisés dans ce domaine sont énormes. Avec la multiplication des établissements à tous les niveaux et la création du Pôle Universitaire, devenu depuis l’Université de Djibouti, les cycles d’enseignements secondaires et universitaires ont suivit la même progression au fil des années. La transformation et l’excellent résultat enregistré globalement par ce secteur sont le fruit des Etats Généraux de l’Éducation, qui se sont tenus en 1999, et de la Loi d’Orientation sur l’éducation qu’il a promulgué en 2000.

Parallèlement, le Président Ismaïl va très vite, mettre en place un programme de développement économique et social ambitieux qui soit en mesure de répondre à l’attente populaire et au besoin du  pays. Un tel programme a nécessité le lancement tous azimuts de réformes, toutes plus importantes les une que les autres, et dont la principale reste de loin la réforme de l’administration publique. Ces réformes ont été engagées pour moderniser les outils administratifs, rehausser les compétences des agents de l’Etat afin d’améliorer l’efficacité des services et leur rendement. Cette mission, confiée au Ministère du Travail, continue de figurer encore de nos jours dans le tableau des grandes priorités du Gouvernement. Et dans la cadre de cette modernisation des infrastructures et des systèmes de gestion, une unité informatique, aujourd’hui opérationnelle, a été mise sur pied pour interconnecter toutes les administrations des différents ministères et fluidifier la circulation de l’information.

Depuis le début, l’une des principales préoccupations du Président de la République a été l’emploi et la lutte contre le chômage. Pour assurer cette mission et gérer efficacement ce phénomène social, l’Etat a créé l’Agence Nationale de l’Emploi, de la Formation et de l’Insertion Professionnelle (ANEFIP) et un Observatoire National de l’Emploi et des Qualifications (ONEQ). Les programmes de formation et d’insertion professionnelle, qui sont régulièrement exécutés, commencent à donner d’excellents résultats. Dès lors, l’espoir fut de mise et l’avenir de la jeunesse djiboutienne loin d’être morose.

Le début de l’élan économique

En effet, le pays possède d’innombrables atouts et le Président le sait. Sa position géostratégique est des plus enviées, sa monnaie en parité fixe avec le dollar américain est librement convertible, son système basé sur une économie libérale est avantageux pour tous les types d’investissements et ses télécommunications sont à la pointe de la technologie. C’est la raison pour laquelle, il a fait du développement des infrastructures de service sa seconde priorité nationale. Dès lors, il va se mettre au travail et attirer des investissements importants qui vont permettre de lancer la construction, à Doraleh, d’un Terminal pétrolier et d’un Terminal à conteneurs ultra modernes, utilisant des équipements de dernière génération. Ce saut impressionnant va hisser les ports de Djibouti à un rang honorable à l’échelle mondiale et leurs offrir des capacités d’exploitation très enviées qui vont permettre au pays de devenir un véritable hub au service de la région et un acteur incontournable de ses échanges commerciaux. Mieux, ce premier pas va créer un environnement hyper favorable à toute sorte d’investissements, favoriser une bonne croissance économique, offrir beaucoup d’emplois et consolider les ambitions du pays. Avec ses nouveaux ports et ses axes routiers le reliant à la ville et à la Route Nationale 1, le littoral maritime de Doraleh   changea très rapidement de configuration et projette désormais l’image d’un pays en passe de devenir un grand carrefour économique et commercial pour l’ensemble de la région. Un peu plus loin, un troisième projet portuaire émergea dans la gorge du Goubet. Ce port, qui été spécialement conçu pour faciliter l’exportation du sel du Lac Assal, fonctionne convenablement et remplit ses missions avec succès. Doraleh est encore le site choisit par l’Etat pour construire un autre port de commerce qui va prendre le nom de Djibouti Multipurpose Port. Ce nouveau port, aujourd’hui en activité, a été créé pour prendre le relai du vieux port historique de Djibouti qui lui, sera transformé peu à peu en un gigantesque centre d’affaires et de loisirs pour attirer les grands capitaux. En outre, le Président de la République a inauguré le premier porte conteneur acheté par la nouvelle Société “Djibouti Shipping Company”. Ce bateau permet à DSC de travailler dans un secteur commercial maritime jusqu’à là jamais exploité.

Si le Continent africain rêve depuis longtemps d’une intégration régionale qui n’aboutie toujours pas, le Président de la République et le regretté Meles Zenawi avaient tous deux, réussi à poser les jalons d’une intégration régionale en Afrique de l’Est. Au-delà des activités intenses du corridor qui relie les deux pays et de son développement, Ismaïl Omar Guelleh va relancer un projet laissé aux oubliettes. Il s’agit du projet d’interconnexion électrique entre Djibouti et l’Éthiopie. Après avoir convaincu son vis-à-vis, le Premier Ministre Ethiopien et obtenu conjointement la grande partie du financement de la Banque Africaine de Développement, les travaux de construction de la ligne, longue de 283 kilomètre, débuteront en 2006. Cette ligne, inaugurée en 2011, permet à Djibouti d’importer une partie de sa consommation d’électricité. C’est le début d’une nouvelle ère et un exemple à suivre pour tout le Continent. Grâce à la volonté de ces deux leaders honnêtes, courageux et visionnaires, un plan de modernisation et de développement des axes de communications reliant les deux pays sera programmé. Si la mort emporta Meles Zenawi, son successeur prendra le flambeau et son programme de développement survivra.

Au mois de décembre 2016 et janvier 2017, une nouvelle ligne de chemin de fer électrifiée et moderne, d’une longueur de 750 kilomètres, est inaugurée conjointement, et successivement, à Addis-Abeba et à Djibouti. Une gare ultra-moderne ayant été construite à Nagad. Cette nouvelle ligne a remplacé l’ancienne qui a rendu l’âme. Et depuis 2018, cette nouvelle ligne de chemin de fer est opérationnelle. Avec des rames ultra confortables équipées de cuisines et de restaurants, ce train est à des années lumière de nos vieux machins. Les mirages de nos déserts devraient être encore plus époustouflants.

N’oublions pas malgré tout, la création des nouveaux axes routiers à l’image des trançons d’Ali-Sabieh – Galileh, Tadjourah et Obock, Djibouti-Loyada et toutes les énormes réfections réalisées sur l’ensemble des réseaux routiers djiboutiens (régionals et urbains).

Et ce n’est pas fini !

Le Président va obtenir de l’Ethiopie une concession d’exploitation gratuite d’eau potable, d’un volume fixé à 100 000 m3 par jour et pour une période de 20 ans. Après le chemin de fer et la ligne d’interconnexion électrique, c’est le 3ème projet d’intérêt socio-économique, reliant les deux pays. Et les projets édifiés pour favoriser encore cette intégration régionale continue au Nord du pays. En effet, le port de Tadjourah a été construit pour assurer l’exportation des richesses naturelles des régions Nord de l’Ethiopie et la route de Balho, qui est désormais le troisième axe routier qui unit les deux pays, est aujourd’hui opérationnel. L’interconnexion et la multiplication des voies de communication  ont prit un tournant historique pour les deux pays et un héritage sans commune mesure pour les générations à venir.

Vers une économie émergeante

Grâce à son plan « Djibouti Vision 2035 », qui définit l’orientation de la politique nationale de développement et son cadre de planification, la République de Djibouti s’est investie pour réussir son programme d’intégration régionale et son ambition de rejoindre rapidement le club des pays émergents. Sous la houlette du Président de la République, le pays a commencé à se préparer et à consolider son capital humain. Il a mis en place tous les outils nécessaires permettant d’ouvrir la voie d’une économie diversifiée et compétitive, bientôt propulsée par un secteur privé puissant et performant. La paix, l’unité nationale et la bonne gouvernance étant les conditions incontournables pour le triomphe d’un tel plan.

Intégrée dans le tracé maritime des nouvelles routes de la soie, la République de Djibouti va devenir un point important du projet chinois, changera encore de dimension et continuera de développer ses infrastructures pour préparer le pays à tirer profit de cette nouvelle opportunité. C’est dans cette perspective que Djibouti a lancé en 2016,  un projet de zone franche commerciale, dénommé Djibouti International Free Trade Zone (DIFTZ), d’une superficie de 4800 hectares. Le 5 Juillet 2018, le Président de la République a officié l’inauguration d’une première tranche de 240 hectares dotés de toutes les infrastructures nécessaires et d’un grand hôtel de luxe. Cet évènement s’est déroulé en présence du Premier Ministre Ethiopien et des Présidents du Rwanda, de la Somalie et du Soudan. Une fois achevée, cette zone franche sera la plus grande jamais bâtie en Afrique. D’importantes sociétés chinoises, spécialisées dans la grande distribution, semblent avoir prit place et exploitent déjà sur les lieux.

Création d’un secteur industriel important

Pour combler le manque de production nationale, le Président va engager un programme de développement industriel et favoriser la création d’unités manufacturières capables d’alimenter le marché local. A l’image des cimenteries d’Ali Sabieh et du PK12, de l’unité de conditionnement des huiles domestiques, de la manufacture de pâtes alimentaires, de la laiterie de Douda, des nombreuses sociétés d’embouteillage d’eau minéralisée etc…

Afin de répondre à une demande de plus en plus importante en matière d’eau potable, l’Office National des Eaux et de l’Assainissement de Djibouti (ONEAD) a déjà investi dans la création de 8 forages à Hadagala (Ethiopie), avec une station de pompage et un aqueduc transfrontalier pour transporter l’eau vers Djibouti. Ces  infrastructures qui appartiennent à la République de Djibouti sont gérées par un chef d’agence de l’Onead. Toujours dans le même esprit, l’Office  est entrain de finaliser la construction à Doraleh, d’une usine de dessalement d’une capacité de 22 500 m3 par jour avec un réservoir de stockage d’une capacité de 5 000 m3. L’Electricité de Djibouti, pour sa part, est entrain de développer les énergies renouvelables (que nous verrons en détail dans nos prochaines éditions) dont le plus important projet est un parc éolien en cours de construction dans la région d’Arta.

Pour propulser Djibouti  dans une nouvelle ère de son développement, le Président a également initié la réalisation d’un énorme complexe industriel sis à Damerjog et dont les travaux de construction de la 1ère phase, qui sont en cours d’exécution, sont prévus pour être achevés fin 2021. Tandis que la deuxième phase de ce projet d’envergure est programmée pour prendre fin en 2025. Des terminaux pétroliers et gaziers avec leurs infrastructures de stockage, une unité de raffinage offshore, une usine de liquéfaction de gaz naturel, des usines métallurgiques, des bâtiments administratifs, des immeubles d’habitation, des centrales électriques etc…verront bientôt le jour. Ce littoral subira à son tour une profonde transformation et fera de la région de Damerjog le nouvel eldorado djiboutien.

Avec l’achèvement de toutes ces réalisations et les projets d’envergure programmé à court terme, la République de Djibouti a effacé d’un revers cette image de cité garnison qui lui collait jusque-là à la peau et qu’une certaine presse internationale malveillante ne cessait de véhiculer en affirmant injustement que la petite République de Djibouti vit sous perfusion de l’Armée françaises. Ismaïl Omar Guelleh a démontré qu’il n’en était rien et que le pays possède d’immenses potentialités capables non seulement d’assurer son développement dans tous les domaines ; mais également, de bâtir ses propres richesses pour éradiquer la pauvreté et combler les besoins de l’ensemble de sa population. La position stratégique de Djibouti étant  une source de richesse sûre et intarissable qui vient du Ciel. C’est-à-dire, un immense don de Dieu. Tout simplement !

Par A.A-Mahé